Leçons de ville #1 – test

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Ville en Seine

   Date : 2012

   Maîtrise d’ouvrage : Ville de Melun

   Budget : 0 €

   Équipe : AFTRP (ex GPA, aménageur mandataire), Dialogue Urbain
                (Architecte Urbaniste, Giac Architecture, Florence Robert (Paysage),
                PhRi Strategy (Stratégie du territoire)

   Programme : Reconversion du centre hospitalier
               en un nouveau quartier de la ville

   Surface : xxx

    Localisation : Melun (77)

 

Consultation pour la Reconversion du centre hospitalier Marc Jacquet – Melun

La mission

La libération du site de l’hôpital Marc Jacquet et sa reconversion interviennent après l’adoption en novembre 2011 par la ville de son Agenda 21, et l’engagement dès 2008 du projet urbain
« Oxygène ».Compte tenu de l’emplacement des installations, la reconversion du site est une opportunité exceptionnelle pour la ville de mise en œuvre de ses objectifs de développement durable. 

Notre méthode est axée sur la mise en cohérence durable des différentes échelles du site et sur la prise en compte du contexte environnemental et urbain, de l’accessibilité et du maillage, de la complémentarité et de l’interaction des programmes.

Elle consiste à faire de l’espace public l’élément de continuité et de durée dans la ville, celui qui marque le plus durablement l’espace urbain.

A la question ciblée de savoir ce que l’on fait sur le site de l’hôpital, nous apportons une réponse globale, une vision stratégique de mise en valeur d’un territoire exceptionnel. Cette stratégie repose sur 5 actions menées simultanément sur le territoire.

 Le projet

Scénario « Ville en Seine »

Le thème général « Ville en Seine » et le principe de maillage posent la question des
continuités urbaines, des vis-à-vis, des interactions, entraînant l’ensemble des lieux
de la ville, dans une farandole dynamique.
 Le projet n’est pas figé mais en mouvement,
les lieux se complètent les uns les autres. Le foisonnement des idées, le foisonnement
des initiatives sont mis en perspective.

Il est décliné sur le territoire d’étude en 5 principes d’aménagement localisés : le village (1),
la ville (2), les architectures (3), la terrasse (4), le maillage (5). Dix actions tissent ensuite
des liens entre les 5 principes localisés d’aménagement et précisent les actions à engager.

Si l’on prend le principe d’aménagement de la terrasse par exemple (4), la rencontre
entre vallée et plateau se fait sur une terrasse dans un jardin. La terrasse est ainsi une
halte entre Seine et Ville, lieu de rassemblement, point d’arrivée et de départ.
L’île Saint-Étienne est espace servi, la terrasse espace servant.
    

Recherche d’ambiances paysagères pour le principe d’aménagement
de la terrasse proposé par le second scénario

Couture urbaine

    Date : 2010

    Maîtrise d’ouvrage : Ville de Champs-sur-Marne

    Budget : 20 000 €

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire)

    Programme : 130 logements dans le centre-bourg ancien

    Surface : xxx

    Localisation : Champs-sur-Marne (77)

 

La mission

La ville de Champs-sur-Marne comprend une partie ancienne, le bourg réuni autour du château construit par Pierre Bullet au 18è siècle, et une partie nouvelle rattachée à la Cité Descartes, technopole de l’Est Parisien. L’une est ancrée dans son histoire, l’autre est porteuse d’une ambition nouvelle et d’avenir.

Aujourd’hui la commune de Champs-sur-Marne est confrontée à un déséquilibre dans le développement de son territoire. Elle fait face à des difficultés de renouvellement de son bourg. Confrontée à une transformation au coup par coup du bourg, la ville a souhaité en coordonner le devenir. Elle a demandé à l’Etablissement Public Foncier d’Ile de France (EPFIF) de l’aider à maîtriser le foncier de 3 sites en mutation dont elle nous a confié l’étude urbaine.

Les trois sites de projet sont situés en plein cœur du centre-ville de Champs-sur-Marne. Chaque îlot présente une problématique spécifique du fait de sa situation ; nous avons travaillé leur insertion urbaine.

L’histoire a préservé l’îlot rural d’origine qui constitue le bourg de Champs et le rapport d’échelle existant entre l’habitat vernaculaire et le domaine du château. C’est ce rapport d’échelle que nous privilégions pour inscrire les opérations nouvelles dans l’existant.

 Le projet

Champs-sur-Marne est une commune dont l’emprise naturelle est quasi équivalente
à son emprise urbaine. Le centre ancien est aujourd’hui « pincé » par deux masses
vertes qui contraignent le développement de la commune dans une orientation
Nord-Sud.  Il faudra proposer des scénarios tenant compte du traitement paysager.

 

Untitled-1

 

Le diagnostic a pu révélé à certains endroits une échelle monumentale niant le tissu
existant du parcellaire étroit d’origine, entrainant de fait une perte d’identité. Il est
nécessaire de choisir la juste échelle pour créer une continuité avec le bâti existant.

 

Un bâti ancien créé en liaison avec le château. Malgré les mutations du temps, le bâti
construit jusqu’en 1948 a su s’intégrer au tissu ancien, créant une continuité et non
une rupture avec la morphologie du bâti existant. En rouge figure le bâti construit
avant 1900, en beige de 1900 à 1948 , jaune non renseigné, gris après 1948.

 Plan masse du projet d’aménagement des trois îlots.  Recherche d’une mixité combinatoire
entre différentes typologies complémentaires, mais avec un caractère commun au
mixe de typologies. Chaque îlot se voit doté d’un espace public spécifique. 

Insertion urbaine des trois îlots. L’échelle du bâti choisi créé une continuité
avec l’existant. La petite unité ou le petit module est un élément malléable
qui permet de créer un tissu homogène.

Sur la ligne de crète mains tendues vers la ville

    Date : 2005 – 2006

    Maîtrise d’ouvrage : EPAG

    Budget : 128 000 €

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire), DMS Architectes,
               Agence Babylone (paysagiste), AGIR (BET VRD), AGIR Environnement

    Programme : Quartier nouveau de 2600 logements dont 40% sociaux,
               équipements publics (6,2 ha), commerces, services

    Surface : xxx

    Localisation : Macouria, Guyane

 

Projet urbain de la ZAC de Soula – Macouria – Guyane

La mission

Dans un contexte d’offre de logements insuffisante,

Soula demeure un des projets phare de la Guyane :
la ZAC située dans la ville de Macouria est destinée à
accueillir 2 500 logements dont 40% sociaux et tous les
équipements et services correspondants.

L’enjeu consistait à installer, sur un territoire morcelé,
un nouveau quartier en respectant les contraintes liées
au plan de prévention des risques d’inondation (PPRI)
et en y associant les constructions existantes.
Cette étude d’urbanisme nous a été confiée par l’EPAG,
l’établissement public d’aménagement en Guyane.

Aujourd’hui, les chantiers sont en cours mais le projet
retenu, celui d’une autre équipe, est loin de correspondre
à notre vision initialement proposée.

Le projet

Pour créer les conditions d’un tissu urbain organisé
nous avons proposé le principe d’un élément paysager
structurant permettant de rassembler ce qui était déjà
construit et ce qui devait l’être.

Dans la traversée du centre-ville, un cours, jouant le
rôle de place à l’image des ramblas espagnoles, accueille
au centre un marché forain. L’espace public est marqué
par la présence de palmiers royals, en référence à la
place des Palmistes à Cayenne.

Le projet tire son caractère du contraste créé entre un
environnement naturel à la végétation exubérante et
des espaces urbains maîtrisés et lisibles.
La trame du projet s’inscrit dans un territoire qui dépasse
les limites de la ZAC et relie la rivière de Cayenne à la
côte, permettant d’associer au quartier, l’habitat spontané,
installé au nord du site.

Photo aérienne du territoire existant
Proposition de 2 scénarios stratégiques : Intériorité / Extériorité

Plan masse du scénario retenu : l’extériorité

Projet d’un nouvel espace public fédérateur : le cours urbain

Une entrée de ville sinon rien

    Date : 2006

    Maîtrise d’ouvrage : AFTRP (ex Grand Paris Aménagement)

    Budget : 0 €

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire),
               Boris Cindric (Architecte)

    Programme : Revitalisation des abords (RN 305)

    Surface : xxx

    Localisation : Ivry-sur-Seine (94)

 

Consultation – Avenue de Verdun –  Revitalisation des abords (RN 305) Ivry-sur-Seine

La mission

L’agence foncière et technique de la région parisienne (AFTRP) et la ville d’Ivry-sur-Seine ont lancé en septembre 2006, un appel à candidature pour charger un urbaniste de mettre en oeuvre le projet de reconstitution des abords de l’avenue de Verdun après son élargissement. Le tissu urbain disponible en bordure de l’avenue n’a qu’une faible épaisseur car il bute sur de très grandes emprises foncières dont la mutation n’est pas envisageable à court terme.
Notre proposition consistait à transformer le projet de « remplissage » du foncier disponible, en une vision stratégique à la mesure du potentiel du territoire.

Le projet

 

L’ordonnancement du front urbain et l’aménagement de l’avenue
de Verdun ne font qu’un. Les bâtiments remarquables, rythmant l’entrée
de ville, jalonnent la trame viaire en devenir. Élargie, l’avenue de Verdun
peut devenir l’entrée sud-est de Paris. C’est pour la ville d’Ivry-sur-Seine
une opportunité unique de renouvellement urbain.

 

S’ouvrir ou mourir

    Date : 2006

    Maîtrise d’ouvrage : EPAG

    Budget : xxx

    Équipe : Agence Dialogue Urbain Architecture Urbanisme mandataire,
               Sébastien Sosson Paysage, AGIR BET VRD hydraulique, DMS Architecture

    Programme : Logements, équipements publics, commerces,
               services, pôle Universitaire

    Surface : xxx

    Localisation : Saint-Antoine et Hibiscus, Guyane

 

Missions d’étude et de maîtrise d’oeuvre urbaine – Saint-Antoine et Hibiscus – Guyane

La mission

La mission comprend deux volets : une mission d’étude urbaine et
une mission de maîtrise d’œuvre.
L’îlot étudié est inhabituel par sa taille et son caractère marécageux qui présente une difficulté. L’université de Guyane installée sur ce site relativement enclavé a exprimé son souhait de s’ouvrir sur la ville. La dynamique urbaine en jeu ici est la transformation d’une intériorité en extériorité.

L’objectif de l’aménageur et de la ville de Cayenne est donc de créer un quartier animé, associé au pôle universitaire guyanais (PUG), susceptible d’accueillir des résidences pour étudiants, des logements familiaux, des activités tertiaire et des équipements publics et privés.
Des bassins de rétention liés à la présence d’un ru, ainsi qu’une voie de transit dont le caractère autoroutier menace d’isoler le pôle universitaire, complètent le programme des grands équipements prévus sur ce site.

Le projet proposé affirme l’ouverture du quartier sur la ville et la transformation de l’intérieur de l’îlot en un morceau de ville à part entière :
l’intégration de la voie de transit et des infrastructures d’assainissement au projet d’ensemble confirme le caractère urbain du quartier
la porosité des îlots situés en vis-à-vis de l’université favorise l’ouverture du pôle universitaire sur le quartier
• le principe de mixité des logements s’applique à l’ensemble du quartier

 

 

 

 

 

Entre savane et mangrove confrontation au réel

    Date : 2012-2013

    Maîtrise d’ouvrage : EPAG

    Budget : 129 480 € HT, estimation travaux 4,8 M

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire), AGIR (BET VRD),
               Botanik Paysage (paysagiste), AGIR Environnement (BET Environnement)

    Programme : Aménagement de la PHASE 2 de la ZAC de Montsinéry :
               423 logements, activités, équipements publics privés, village commercial

    Surface : ZAC 66 Ha, Phase 2 : 38 Ha

    Localisation : Montsinéry-Tonnegrande, Guyane

Mission de maîtrise d’œuvre urbaine de la PHASE 2 de la ZAC de Montsinéry – Guyane

En mai 2012 l’EPAG (établissement public d’aménagement en Guyane) et la ville de Montsinéry ont confié à Dialogue Urbain et ses partenaires la maitrise d’œuvre urbaine de la seconde phase d’aménagement de la ZAC d’extension du bourg de Montsinéry

Le contexte

Dialogue Urbain avait réalisé en 2009, avec Babylone Paysage, AGIR et DMS Architectes l’étude pré-opérationnelle de l’extension du bourg.

Compte tenu de l’importance du programme de l’extension comparé à la taille modeste du bourg ancien (600 logements contre une centaine) et afin d’éviter des phénomènes d’exclusion entre bourg et extension du bourg, l’équipe avait proposé deux scénarios d’aménagement.

Le premier scénario sortant des emprises foncières prédéfinies par l’aménageur situait l’extension du bourg directement sur la route départementale menant au bourg assurant ainsi une continuité et une intégration de fait entre bourg et extension du bourg. Le second restant dans les emprises foncières prévues consistait à dupliquer le bourg en unités de voisinage distinctes les unes des autres mais complémentaires et reliées entre elles. Ces hameaux étaient disposés sur le site en tenant compte des espaces naturels à préserver. C’est ce second scénario qui fut retenu.

Cette étude permit à l’EPAG de créer la ZAC et d’engager avec une nouvelle équipe de maîtres d’œuvre la réalisation du « hameau du collège » premier de la série et proche du bourg. Il est habité aujourd’hui.

La commande

La commande comprenait une mission maîtrise d’œuvre des espaces publics de la ZAC et une mission projet urbain et prescriptions d’urbanisme.

Le premier temps de la mission fut consacré à l’actualisation du projet préexistant, dans le respect des principes réitérés de continuum écologiques et de hameaux conçus comme unités de voisinage ouvertes sur l’espace naturel. Une patiente ré-écriture du plan fut nécessaire pour remettre en évidence le principe de hameaux mis à mal par l’inflation du programme de logements et la fusion des unités de voisinage.

Un site de qualité

Les espaces naturels préservés définissent en « négatif » les secteurs urbanisables : savane, mangrove, bois de rose, forêt secondaire, étang…

Le territoire et le végétal comme outil de composition :
La principale qualité du site est la très grande ouverture visuelle créée par la savane depuis la départementale. Cette respiration spatiale, la présence du ciel, de l’horizon, la longue lisière forestière, constituent un réel atout et le socle du projet urbain.

 

Le projet

Le principe de composition avec la nature est l’un des fondamentaux du projet d’ensemble.

Les principes de composition du projet urbain : Les hameaux / Les continuités écologiques

L’organisation du quartier repose sur la création d’unités de voisinage de 120 à 150 logements, disposant d’espaces et d’équipements publics (ou ouverts au public), supports et générateurs de vie sociale. Les hameaux tous différents ont pour référence commune le bourg de Montsinéry. La diversité entre les hameaux est facteur d’échanges et de mixité fonctionnelle. Elle se décline à l’échelle de l’îlot entre les différentes typologies d’habitat et à l’échelle de la résidence entre celles des logements.

 

À chaque hameau correspond :
– Un programme bâti
– Un programme d’espaces extérieurs
– Un ou plusieurs espaces naturels qui participent de son identité

* La continuité des espaces naturels
forme une coulée verte écologique.
* Les principes d’architecture durable, de gestion des eaux pluviales
et de nature au quotidien s’appliquent à chacun des hameaux.

HAMEAU TYPE : Le hameau de la Jetée + La place fluviale



Hiérarchisation des voiries

Le principe de hiérarchie des voiries appliqué au projet d’urbanisme permet d’identifier concrètement les voies et liaisons douces, selon leur situation ou importance au sein du quartier.

Axonométrie du mail central en direction de la savane

1. La rue interne à sens unique – Hameau des commerces
2. Liaison inter-quartier (liaison organique) – Partie promenade
3. La rue interne à sens unique – Hameau des sports

L’entrée de ville – Le village commercial

À l’entrée du site le « village commercial et artisanal », zone de vie et d’échanges, contribue à susciter initiatives et intérêt au bénéfice du quartier.

– Le village commercial
Le concept de « village » proposé sur la ZAC d’extension du bourg de Montsinéry est une proposition originale qui tient compte de plusieurs paramètres convergents qui nous ont convaincus de reconsidérer l’organisation du hameau des commerces.

– La place du marché
La place du marché occupe une position stratégique ouverte sur le passage de la route départementale et sur l’entrée du quartier. Lieu de vie ouvert sur des boutiques et une supérette, conviviale et de taille relativement modeste (30x25m) elle peut accueillir diverses animations commerciales de proximité.
Les villes du soleil ont inventé et mis en oeuvre de nombreux dispositifs de protection des promeneurs, comme ici avec les systèmes de auvents / couvertures légères.

– La bâti
Un rythme régulier de maisons de ville est souhaitable, mais le dispositif proposé autorise une grande souplesse du fait que chaque entité (supérette, commerces, ateliers) est autonome. Les commerces s’alignent sur l’auvent qui protège le promeneur. L’implantation des ateliers est plus libre. Au centre de l’îlot sont regroupés garages et aires de stockage.



– Typologies
Nous avons privilégié ici, l’utilisation du bois et des matériaux naturels comme thème de référence architecturale, mais on imagine aisément la promotion du « village ».

– Les maisons commerce à RDC

– Les ateliers

Les logements collectifs


– Principes d’architecture bio-climatique
– Ventilation naturelle, toiture débordante ventilée
– Double orientation

Pour vivre heureux vivons caches

    Date : 2009

    Maîtrise d’ouvrage : Conseil Général des Yvelines

    Budget : 20 000 €

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire),
               Agence Babylone (paysagiste)

    Programme : Village culturel et de loisirs de 70 000 à 100 000 m²
               SHON sur l’ancien site BULL

    Surface : 87 Ha

    Localisation : Louveciennes et Rocquencourt (78)

 

Mission de conseil pour l’aménagement de la plaine de Villevert – Louveciennes et Rocquencourt

La mission

Le Conseil général des Yvelines nous a demandé de porter un nouveau regard sur la plaine de Villevert à Louveciennes et sur le bourg de Rocquencourt, se faisant face de part et d’autre de l’autoroute A 13. L’appartenance des deux sites à l’ensemble Versailles-Marly leur donne une visibilité internationale exceptionnelle.
Les pôles thématiques proposés renvoient à la diversité et à la richesse du patrimoine existant ainsi qu’à la présence sur le territoire de parcs scientifiques comme l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA) à Rocquencourt.

Le projet pour la plaine de Villevert à Louveciennes totalise environ 71000 m² de SHON, répartis en quatre pôles : hébergement, loisir et sport, commerce, culture et tourisme. L’ensemble répond, dans un cadre exceptionnel, aux attentes d’une clientèle variée, sensible à la qualité de l’offre ainsi qu’au dépaysement et au caractère unique des lieux.

Le projet 

L’approche culturelle guide la proposition, tant en terme
d’organisation spatiale qu’en terme de contenu.

 

La plaine de Villevert renoue avec l'eau et l'art des jardins

La plaine de villevert se fond dans son environnement naturel

 

La trame du paysage sert de tracé régulateur au projet.

Pluralité d’acteurs, diversité, complémentarité, paramètres du modèle de
« cluster durable » décrit par Michael E. Porter, sont constitutifs du projet.

Friche en PPRI

    Date : 2009

    Maîtrise d’ouvrage : EPFIF

    Budget : 20 000 €

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire)

    Programme : 200 logements, 16414 m² SDP

    Surface : xxx

    Localisation : Athis-Mons (91)

Ancien site LU – étude pré-opérationnelle d’une friche industrielle – Athis-Mons

La mission

La vallée de la Seine, abritant une importante activité industrielle en Île-de-France, est confrontée au renouvellement urbain de secteurs en friche. C’est le cas du terrain autrefois occupé par l’entreprise LU à Athis-Mons, où l’Établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF) et la ville, nous ont confié l’étude urbaine d’un programme de 200 logements. Cette étude s’est poursuivie par une mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage au cours de laquelle Dialogue Urbain a pu accompagner l’EPFIF jusqu’au terme du projet.

Bien que mitoyen d’un îlot pavillonnaire, le terrain LU d’une surface de 16 414 m² n’est pas situé dans un contexte urbain. Il est soumis à de nombreuses contraintes réglementaires dont en particulier celles du plan de prévention des risques d’inondation (PPRIN) limitant ses possibilités d’évolution. Le PPRIN fixe le premier niveau habitable à 1,27 m au-dessus du terrain naturel correspondant au niveau des plus hautes eaux connues (PHEC) et le plan local d’urbanisme (PLU) limite la hauteur maximum des bâtiments à 12 mètres.

Nous avons opté pour un principe de petits immeubles de 30 logements au maximum. Les bâtiments sont construits sur pilotis afin de jouer sur les transparences et d’installer les immeubles dans un parc résidentiel évoquant la présence de l’eau.

Le projet

La commune d’Athis-Mons s’étire d’Est en Ouest, entre la Seine et l’aéroport d’Orly. A l’échelle du Grand territoire, l’urbanisation de la commune s’est réalisée en bandes spécialisées successives de manière parallèle à la Seine, suivant le relief : les bords de Seine industrialisés, le chemin de fer, la vallée résidentielle, le coteau paysager et le plateau urbanisé. Ces bandes fonctionnement principalement dans le sens Nord-Sud, rares sont les liaisons Est-Ouest.

Envers la Ville

    Date : 2008 – 2009

    Maîtrise d’ouvrage : EPAMSA

    Budget : 57 460 €

    Équipe : Dialogue Urbain (architecte urbaniste mandataire),
               Agence Babylone (paysagiste)

    Programme : Projet de ville et rénovation d’une friche industrielle

    Surface : 99 Ha

    Localisation : Les Mureaux (78)

 

Mission d’étude urbaine – Projet de ville et rénovation d’une friche industrielle – Les Mureaux

La mission

L’étude urbaine confiée par la ville des Mureaux et l’Établissement public d’aménagement du Mantois Seine Aval (EPAMSA) porte sur un terrain de six hectares.

Cette opportunité foncière, premier signe tangible de l’évolution structurelle du secteur, nous a conduit à élargir la réflexion au secteur nord-ouest de la ville, pour mettre en perspective les attentes à court terme et inventer un projet d’ensemble, porteur d’une vision stratégique ambitieuse.

Le projet repose sur un panel d’espaces publics hiérarchisés afin de remédier aux dysfonctionnements nés du déficit de relations entre l’est et l’ouest de la ville. Nous proposons la création d’un faisceau de trois liaisons nouvelles et d’une liaison organique transversale, empruntant le chemin rural reliant le coteau de Bouafle à la Seine. La liaison organique offre une lecture intériorisée de la ville et l’opportunité d’un nouveau franchissement de la voie ferrée.

L’approche territoriale et paysagère s’appuie sur les qualités du paysage existant (relief/nature). Elle s’attache à mettre en place une trame verte qui reprend et développe les écosystèmes locaux sur le principe des «corridors écologiques».  Le travail de mesure du site s’accompagne d’une recherche de typologies et de références bâties.

 Le projet

DU_Les Mureaux Etude urbaine_developpement de l'axe

 DU_Les Mureaux Etude urbaine_plans diagnostic

 

Parcellaire, un défaut de maillage 

Typologies bâti et trame urbaine

 

DU_Les Mureaux Etude urbaine_typologie et trame

DU_Les Mureaux Etude urbaine_trame et échelle

Trame, îlot et échelle urbaine

Espace public

Projet d’une liaison organique, d’un Couloir écologique

DU_Les Mureaux Etude urbaine_milieux naturels

Analyse faune flore, en collaboration avec Agence Babylone

DU_Les Mureaux Etude urbaine_coupe sur la liaison organique

La « Ville retrouvée »

 

DU_Les Mureaux Etude urbaine_projet urbain bati

DU_Les Mureaux Etude urbaine_plan masse inseré

Plan de masse rendu 

 
DU_Les Mureaux Etude urbaine_plan masse inseré zoom

DU_Les Mureaux Etude urbaine_ambiance coulée verte2

Perspective et ambiance rue Jean Jaurès, Les Mureaux

Différentes typologies de sections applicables à la voirie

DU_Les Mureaux Etude urbaine_plan masse PAYSAGE

 

Plan masse rendu réalisé en collaboration avec l’Agence Babylone 

 

DU_Les Mureaux Etude urbaine_plan masse négatif

 

En bleu clair figure le bâti du projet, que l’on a souhaité intégrer
de la manière la plus cohérente possible au bâti existant.

 

 DU_Les Mureaux Etude urbaine_xray avant après